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// Les Bribes

Ateliers d'écriture « Bribes de ville »



ATELIER 1 : Habille et déshabille la ville

MERCREDI 22 MAI – 19h30 – 21h



L'atelier invite les participants à composer deux « mouvements » d'écriture. Le premier mouvement s'attache à « habiller » la ville, c'est-à-dire qu'il demande aux participants de produire un texte qui superpose peu à peu les différentes épaisseurs de vie urbaine : de sa porte, de sa rue, l'écrivain-habitant-passant de la ville s'empare des petits riens urbains qui font l'étoffe de la ville. Le deuxième mouvement s'attache à « déshabiller » la ville, c'est-à-dire qu'il invite les participants à affiner leurs vécus quotidiens de la ville et à prendre le temps de les explorer par un prisme poétique (une sorte de synecdoque) qui révèle, entre les espaces arpentés et les personnes rencontrées, l'essence de la ville.

 

ATELIER 2 : Ebruite la ville
LUNDI 3 JUIN – 19h30 – 21h



L'atelier propose aux participants une écoute en continu d'une partition de bruits de la ville, composée grâce à des immersions urbaines en différents temps et différents lieux de la ville (sortie d'école, passage du tramway, place du marché, etc.), durant laquelle chacun développe un processus d'écriture imaginatif à partir des sons entendus. Ce matériau sonore permet de recréer des « espaces-temps » urbains qui suggèrent des ambiances ou des situations libres d’évocations et de perceptions. Ici, l'écriture, en « résonance » avec la bande-son, redimensionne la ville et se prête à une interprétation poétique ou narrative de celle-ci. 

 



ATELIER 3 : Epingle la ville

Atelier participatif prenant place au sein de l’exposition – DU 12 AU 20 JUILLET


L'atelier s'organise à la manière d'un jeu de cartes thématique : les passants de l’exposition ont à leur disposition un grand nombre de micro-photographies de la ville qu’ils sont amenés à distribuer en fonction des évocations qu'ils associent aux phrases ou mots choisis et proposés. Le processus d'association mot/photo se tisse alors sous la forme d’une grande toile collective. Ici, ce sont les perceptions subjectives des passants qui sont réveillées afin de peindre un panorama « surréaliste » de la ville... ou comment les consciences et les imaginaires se façonnent au gré des déambulations urbaines.



 

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